Grande journée et grand déplacement pour les minimes garçons de la section sportive volley-ball. En effet ceux-ci jouaient à Reims le mercredi 08/02/17 pour les finales Grand Est et une éventuelle qualification pour les championnats de France.

Après 4 h de bus, les élèves sont arrivés à bon port, motivés et prêts à en découdre avec leur premier adversaire : Maizières les Metz. Les garçons du collège Twinger ont très vite déchanté face à une équipe supérieure et habituée au podium du championnat de France. 25-08 et 25-11, score sans appel, avec dans les rangs de Maizières un joueur a plus de 20 points, considéré déjà comme un grand espoir national.

L’autre adversaire du jour était le collège de Châteauvillain, collège de Haute Marne. Les joueurs avaient eux aussi perdu lourdement face à Maizières. Autrement dit, le match opposant Chateauvillain à Twinger était décisif pour la qualification au championnat de France.  Twinger commençait mal avec un 8-2 puis un 16-6, trop brouillon en réception et pas assez dominateurs au service, malgré la régularité de Schaeffer Théo et de Somma Rafaele à la passe. Le passage au service de Pinas Daniel, meilleur twingérien du jour, va combler l’écart de manière impressionnante. Strasbourg revient à 18-20 et est tout prêt du 19-20 sur une belle défense d’Andriamahafaly Princy. Malgré une belle deuxième main d’ABDELKARIMOV Yahya, le collège s’incline 25-22. Le deuxième set est très serré jusqu’au 2^ème temps mort technique 16-14 pour Chateauvillain. Les réceptions sont de meilleures qualités notamment grâce à un Doerflinger Evan retrouvé et Twinger reste au contact. Assani Alif assure au bloc et les attaquants adversaires sont déstabilisés. Malheureusement Strasbourg connaît un passage à vide après une attaque manquée puis contrée et laisse les locaux définitivement  s’échapper 25-21.

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Grosse désillusion pour le coach Charlier qui reste cependant fier de ses joueurs et de leurs persévérances et sérieux aux entraînements. Twinger finit quand même champion d’Alsace 2017. Le retour a un gout amer mais les défaites permettent aussi à tous de progresser.

Sébastien Charlier